Quelque incurables séducteurs qu’ils soient, tous ont fait allégeance à cette certification : il existe des femmes qu’on n’oublie jamais. Peu importe l’excitation de la new love story, qu’importe la beauté de celle qui partage leur vie aujourd’hui. Mais alors, c’est quoi le secret de ces amantes… éternelles ?
D’entrée, faut pas rêver : il n’est question d’aucune astuce sortie des profondeurs insoupçonnées de quelques grimoires de la séduction. Inutile pour les femmes de s’abimer dans des efforts pour être inoubliable de Jules. Car, à l’analyse, on est inoubliable sans le faire exprès ! Petite pioche de sélection de témoignages édifiants sur le sujet.
*Aujourd’hui pharmacien, fou amoureux d’une ravissante déléguée médicale avec laquelle il s’est marié depuis 4 ans, G. Beugré a encore une flamme coquine dans l’œil à l’évocation d’une certaine Jeanne K., sa petite amie de Fac perdue de vue : « Chaque fois qu’elle avait un orgasme, elle piquait un fou rire, comme si on lui avait mis le doigt dans les aisselles ! Au début, ça me déstabilisait complètement. Mais par la suite, j’en suis devenu totalement accro, jusqu’à chercher le même phénomène chez toutes mes autres conquêtes ! »

* « Après un peu plus de deux ans avec une fille superbe mais complexée, qui n’acceptait de faire l’amour qu’une fois portes et volets clos et la lumière éteinte, une pudibonde qui tirait le drap sur elle au moindre bout d’épaule sorti, j’ai rencontré Inès au mariage d’un cousin. Petite, ronde, pas aussi belle que la première, mais hyper à l’aise avec son corps, elle était vraiment open, toujours prête à des folies, à essayer une nouvelle position vue dans un film X et surtout, se pavanait nue souvent dans l’appart’ sous mon regard enfiévré. Cela fait huit ans qu’on s’est perdu de vue, mais elle là-dedans (en montrant sa tête) ». Forent D, 38 ans Infirmier.
* « Nicole était absolument infatigable. Avec elle, on pouvait s’envoyer en l’air six fois par nuit et recommencer le matin. Toujours, prête, toujours envie, jamais une migraine. Au début, ça me plaisait. Mais à la fin, j’ai fini par la quitter. Je n’en pouvais plus ». Eugène F., 46 ans, Enseignant.
* « Je n’ai jamais vu Noelle en slip. Elle n’en portait pas. Jusqu’aujourd’hui, 11 ans après que nos chemins sont séparés, je n’arrête de me poser des questions ». N’Guessan T., 51 ans, Gendarme.

* « Dominique, je ne peux pas l’oublier… parce qu’elle s’appelait comme moi. Et le fait que nous murmurions tous les deux le même prénom pendant l’amour créait quelque chose d’étrange et de très excitant ». Dominique T., 37 ans, Journaliste audiovisuel
* « ’’Cure dent Gouro’’. C’est un ami qui l’avait surnommé ainsi. Moyenne, petits seins. Une chute de reins affolante, d’une douceur agressive à travers le trémoussement rythmé de ses fesses quand elle marchait. Une bouche aux lèvres qui invitent carrément à des jeux interdits : Gladys était une sexuelle. Au quartier, tous les gars piquaient des crises d’érections incontrôlées dès qu’ils la voyaient. Et c’est moi qui ai eu la chance ou le malheur de prendre son cœur. Pour faire d’elle ma copine. Mais trois semaines seulement après, elle m’a quitté. Juste après notre première fois un après-midi dans ma chambre d’élève, elle a appelé une copine devant moi pour lui dire : ‘’Finalement, j’arrive et je serai à l’heure, c’était rapide.’’ Je ne l’ai plus jamais revue. J’avais 18 ans, elle en avait 16. Euh… ça va sans dire » Laurent M., 49 ans, Imprimeur.
* « C’était ma collègue. Mariés tous les deux, nous faisions l’amour à la sauvette : nous n’enlevions que le strict nécessaire, ce qui fait que je ne l’ai jamais vue entièrement nue, dans toute la splendeur de ses rondeurs qui faisaient fantasmer toute l’entreprise. Six ans après la fin de notre relation, je fantasme toujours sur elle ». Olivier V., 42 ans, Entrepreneur.
Comme quoi l’éternel féminin restera insondable. Quoique…
Par Ameday KWACEE