Après Zeinab Bancé, une nouvelle artiste ivoirienne ambitionne d’inscrire son nom dans le prestigieux livre des records Guinness. Mylène Amon, jeune artiste autodidacte, se prépare à relever un défi artistique inédit, réaliser 150 portraits en 120 heures, du 5 au 10 février 2025 au Stade de la BAE de Yopougon.
Un projet artistique au service du rayonnement ivoirien
Tandis que la Côte d’Ivoire attend encore la validation du record récemment tenté par Zeinab Bancé, Mylène Amon se démarque avec une initiative qui célèbre l’identité et l’histoire du pays. Sous le thème “La Côte d’Ivoire en portrait”, elle prévoit d’immortaliser des figures emblématiques telles que le président Félix Houphouët-Boigny et d’autres personnalités influentes de divers domaines.
Plus qu’un simple record, Mylène Amon souhaite faire connaître l’art visio-optique, une discipline artistique qu’elle affectionne particulièrement. Son objectif : mettre en lumière son talent et celui de la Côte d’Ivoire à travers une performance de grande ampleur.
Un parcours artistique et polyvalent
Titulaire d’un BTS en gestion commerciale et marketing, Mylène Amon est une artiste aux multiples facettes. Elle est à la fois décoratrice d’événements, esthéticienne-maquilleuse pour le cinéma ayant notamment travaillé sur le film Le Gendarme d’Abobo et promotrice du papy-art. Aujourd’hui, elle veut marquer l’histoire avec son coup de pinceau et son ambition sans limites.
Un élan de soutien avant le jour J
Ce défi de taille ne vise pas à battre un autre record existant, mais bien à inscrire le nom de Mylène Amon, son art et son pays dans l’histoire du Guinness World Records. Et avant même son lancement, son initiative suscite un vif intérêt. Plusieurs soutiens se manifestent déjà, notamment des ministères, des infrastructures sanitaires et d’autres structures qui apportent leur appui à cette aventure exceptionnelle.
Rendez-vous donc du 5 au 10 février au Stade de la BAE de Yopougon, où Mylène Amon tentera d’accomplir un exploit artistique qui, si validé, fera rayonner encore un peu plus la Côte d’Ivoire sur la scène mondiale.
Charles Zahe